Ayla était une jeune Éthiopienne de 17 ans. Ses yeux verts émeraude contrastait avec sa peau ébène. Son corps fin et élancé était mis en valeur par un haut court, révélant un joli ventre lisse et un nombril rebondi qui ressortait fièrement. Ce matin-là, elle était censée faire le ménage, mais à la place, elle s’était vautrée sur le canapé, absorbée par son téléphone, riant en regardant des vidéos de garçons dansant torse-nu.
Distraitement, elle se titillait le nombril du bout des doigts, savourant sa propre insouciance.
C’est à ce moment que la porte s’ouvrit brusquement. Ses deux grandes sœurs, Fatima et Leila, venaient de rentrer du marché, chargées de sacs, et le spectacle qu’elles découvrirent les fit immédiatement froncer les sourcils.
— Ayla ! s’écria Fatima.
Ayla sursauta, son téléphone manquant de lui échapper des mains. Elle jeta un regard coupable à ses grandes sœurs et éclata d’un rire nerveux.
— On t’a laissée seule trois heures et la maison est toujours en bazar ? ajouta Leila en posant les sacs de provisions avec fracas.
— Oh, c’est pas grave, non ? Vous pouvez le faire ! répondit-elle avec un sourire moqueur.
Fatima croisa les bras et plissa les yeux. Mais le pire, c’est qu’elle et Leila avaient bien vu Ayla en train de se caresser distraitement le nombril.
— Et pourquoi tu te tripotes le nombril ? fit Leila, un sourcil levé.
— Et alors ? Mon nombril est mignon et sensible, j’aime bien le toucher. C’est agréable, lança Ayla avec un petit sourire provocant.
Fatima et Leila échangèrent un regard complice. Il fallait qu’Ayla prenne une bonne leçon.
— Oh, tu aimes ça, hein ? fit Fatima en s’approchant lentement.
— Tant mieux, on va bien s’occuper de ton petit nombril ! ajouta Leila en refermant la porte derrière elle.
Avant qu’Ayla ne puisse réagir, ses sœurs se jetèrent sur elle. Elles la poussèrent sur le lit, lui attrapèrent les poignets et les attachèrent au-dessus de sa tête avec un foulard.
— Hééé ! Attendez, je rigolais ! protesta Ayla en se tortillant.
Mais elles ne comptaient pas l’écouter. Elles glissèrent un coussin sous son dos, l’arc-boutant légèrement pour mieux exposer son ventre plat et son adorable nombril rebondi.
— Oh oui, tu vas rigoler… Crois-moi ! murmura Leila avec un sourire malicieux.
Et sans plus attendre, leurs doigts commencèrent à s’activer sur son ventre.
— Non, pas les guilis ! Je suis trop chatouilleuse ! cria Ayla en éclatant immédiatement de rire.
Les mains de ses sœurs couraient sur son ventre avec une rapidité diabolique. Ayla se débattait tant bien que mal, mais attachée et immobilisée, elle ne pouvait qu’exploser de rire sous l’attaque implacable.
— HAAAAAHAHAHAHAHAHAHA ! STOP ! JE VOUS EN SUPPLIE !
Mais elles ne comptaient pas s’arrêter. Leila descendit lentement ses doigts jusqu’à son nombril et commença à le tourner autour.
— Nooon ! Par pitié, pas là ! hurla Ayla.
— Oh si ! Tu as raison, il est très mignon ! dit Fatima en rejoignant sa sœur dans le supplice.
Puis, sans prévenir, Leila agita son doigt frénétiquement contre le bouton charnu du nombril d’Ayla.
— YAAAAAAAAHAHAHAHAHAHAHAHAHAAAAA ! PAS LE NOMBRIIIIIIL !
Ayla hurlait d’un rire hystérique, secouée par des spasmes incontrôlables. Mais alors qu’elle pensait que le pire était passé, elle sentit quelque chose d’humide sur son ventre.
— AAAAH NON ! NOOOON ! PAS AVEC LA LAAAAANGUE !
Leila vint poser sa langue sur son nombril rebondi et la faisait frétiller à toute vitesse.
— WOUAHAAHAHAHAHAHAHAAAAA ! ASSEEEEEEZ ! J’EN PEUX PLUUUUUS !
Fatima en profita pour poser la question fatidique :
— Tu feras le ménage les trois prochains jours ?
— OUIIIII ! J’LE FERAI ! J’LE FERAI ! PROMIIIIIS ! HAHAHAHAHAHAAAA !!!
— Toute la semaine ? ajouta Leila, sans cesser ses chatouilles.
— HAHAHAHAHAHAAAA !!! OUI, OUI ! MAIS ARRÊTEZ !
Finalement, après de longues minutes de torture, elles s’arrêtèrent.
Ayla, épuisée et le nombril encore humide, haletait en reprenant son souffle. Elle se leva péniblement et se dirigea vers le placard à balai, sous le regard satisfait de ses sœurs.
Fatima et Leila échangèrent un check complice. Mission accomplie !
Distraitement, elle se titillait le nombril du bout des doigts, savourant sa propre insouciance.
C’est à ce moment que la porte s’ouvrit brusquement. Ses deux grandes sœurs, Fatima et Leila, venaient de rentrer du marché, chargées de sacs, et le spectacle qu’elles découvrirent les fit immédiatement froncer les sourcils.
— Ayla ! s’écria Fatima.
Ayla sursauta, son téléphone manquant de lui échapper des mains. Elle jeta un regard coupable à ses grandes sœurs et éclata d’un rire nerveux.
— On t’a laissée seule trois heures et la maison est toujours en bazar ? ajouta Leila en posant les sacs de provisions avec fracas.
— Oh, c’est pas grave, non ? Vous pouvez le faire ! répondit-elle avec un sourire moqueur.
Fatima croisa les bras et plissa les yeux. Mais le pire, c’est qu’elle et Leila avaient bien vu Ayla en train de se caresser distraitement le nombril.
— Et pourquoi tu te tripotes le nombril ? fit Leila, un sourcil levé.
— Et alors ? Mon nombril est mignon et sensible, j’aime bien le toucher. C’est agréable, lança Ayla avec un petit sourire provocant.
Fatima et Leila échangèrent un regard complice. Il fallait qu’Ayla prenne une bonne leçon.
— Oh, tu aimes ça, hein ? fit Fatima en s’approchant lentement.
— Tant mieux, on va bien s’occuper de ton petit nombril ! ajouta Leila en refermant la porte derrière elle.
Avant qu’Ayla ne puisse réagir, ses sœurs se jetèrent sur elle. Elles la poussèrent sur le lit, lui attrapèrent les poignets et les attachèrent au-dessus de sa tête avec un foulard.
— Hééé ! Attendez, je rigolais ! protesta Ayla en se tortillant.
Mais elles ne comptaient pas l’écouter. Elles glissèrent un coussin sous son dos, l’arc-boutant légèrement pour mieux exposer son ventre plat et son adorable nombril rebondi.
— Oh oui, tu vas rigoler… Crois-moi ! murmura Leila avec un sourire malicieux.
Et sans plus attendre, leurs doigts commencèrent à s’activer sur son ventre.
— Non, pas les guilis ! Je suis trop chatouilleuse ! cria Ayla en éclatant immédiatement de rire.
Les mains de ses sœurs couraient sur son ventre avec une rapidité diabolique. Ayla se débattait tant bien que mal, mais attachée et immobilisée, elle ne pouvait qu’exploser de rire sous l’attaque implacable.
— HAAAAAHAHAHAHAHAHAHA ! STOP ! JE VOUS EN SUPPLIE !
Mais elles ne comptaient pas s’arrêter. Leila descendit lentement ses doigts jusqu’à son nombril et commença à le tourner autour.
— Nooon ! Par pitié, pas là ! hurla Ayla.
— Oh si ! Tu as raison, il est très mignon ! dit Fatima en rejoignant sa sœur dans le supplice.
Puis, sans prévenir, Leila agita son doigt frénétiquement contre le bouton charnu du nombril d’Ayla.
— YAAAAAAAAHAHAHAHAHAHAHAHAHAAAAA ! PAS LE NOMBRIIIIIIL !
Ayla hurlait d’un rire hystérique, secouée par des spasmes incontrôlables. Mais alors qu’elle pensait que le pire était passé, elle sentit quelque chose d’humide sur son ventre.
— AAAAH NON ! NOOOON ! PAS AVEC LA LAAAAANGUE !
Leila vint poser sa langue sur son nombril rebondi et la faisait frétiller à toute vitesse.
— WOUAHAAHAHAHAHAHAHAAAAA ! ASSEEEEEEZ ! J’EN PEUX PLUUUUUS !
Fatima en profita pour poser la question fatidique :
— Tu feras le ménage les trois prochains jours ?
— OUIIIII ! J’LE FERAI ! J’LE FERAI ! PROMIIIIIS ! HAHAHAHAHAHAAAA !!!
— Toute la semaine ? ajouta Leila, sans cesser ses chatouilles.
— HAHAHAHAHAHAAAA !!! OUI, OUI ! MAIS ARRÊTEZ !
Finalement, après de longues minutes de torture, elles s’arrêtèrent.
Ayla, épuisée et le nombril encore humide, haletait en reprenant son souffle. Elle se leva péniblement et se dirigea vers le placard à balai, sous le regard satisfait de ses sœurs.
Fatima et Leila échangèrent un check complice. Mission accomplie !