bill2222fr
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L’EMPRISONNEMENT DE PAMELA
La Reine et Catherina, toujours captivées par la scène du marché depuis la piece située dans le donjon, furent dérangées par quelqu’un cognant à leur porte.
¨Madame La Reine? Puis-je entrer*?¨, c’était Bertha.
¨Oui faites. Quelles sont les nouvelles des deux complices de Moira*?¨, demanda La Reine
¨Et bien elles ont toutes les deux subi une inspection en bonne et due forme. Et je peux vous dire qu’elles sont toutes les deux très sensibles*: l’une particulièrement sous la plante des pieds, et l’autre sur la zone des hanches et des flancs. Bizarrement celle qui est chatouilleuse des pieds craint plus les chatouilles avec une plume qu’avec les ongles même longs. Et l’autre nous a fait d’incroyables ruades lorsque nous lui avons fouillé les hanches*! J’ai cru qu’avec sa force elle allait casser le chevalet*!¨, expliqua Bertha.
¨Nous avons cru entendre quelques rires en effet¨, dit La Reine.
¨Madame La Reine, puis-je m’occuper de la fille chatouilleuse des pieds dans ma salle de torture personnelle ?¨, demanda Catherina toute excitée.
¨Entendu*! Bertha, faites emmener cette fille dans les appartements de Catherina¨, commanda La Reine.
¨Bien Majesté¨, répondit Bertha, qui aussitôt prit congé des deux femmes.
¨Madame La Reine, je suis désolée, mais je ne peux plus attendre. Je souhaite ardemment partir sur le champs dans mes appartements car j’ai une irrésistible envie de … m’occuper des pieds de cette complice¨, demanda Catherina.
¨Bien, allez-y, prenez du bon temps, je vois que vous êtes sur-excitée*; probablement par les rires de cette Moira, n’est-ce pas?¨, interrogea La Reine
¨En effet, ces rires et ce supplice des chatouilles public me rendent folle d’excitation*! Je suis toute … trempée si vous voyez ce que je veux dire. Je n’en peux plus!¨, expliqua Catherina.
¨Je ne vous retiens pas plus longtemps¨, autorisa La Reine
¨Merci*! Merci*Madame La Reine¨, remercia Catherina qui déjà était à la porte de la pièce prête à sortir.
Catherina marcha à travers les couloirs sombres du donjons, descendit un étage et ouvrit la porte de son immense appartement, médiéval bien entendu. Cette pièce disposait de plusieurs fenêtres certaines donnant sur la place du marché, d’autres dans une direction perpendiculaire. Il y avait également une petite alcôve pour ses ablutions ainsi qu’une autre pour se restaurer seule si elle le souhaitait. De nombreux meubles richement décorés de style médiéval occupaient son lieu de vie *: un lit à baldaquins, coffres, armoires, commodes, chaises hautes, une grande et une petite table, une chaise plus imposante en forme de trône*; les murs en pierre grise brute étaient également décorés d’armoiries*; une grande cheminée ajoutait de la chaleur à la pièce*; de nombreux tapis couvraient presque intégralement le sol également en pierre. La tête du lit à baldaquins était en bois finement ciselé.
Cette tête de lit disposait d’un petit ¨secret¨*: il s’agissait de quatre petites trappes parfaitement invisibles situées de part et d’autre du centre juste au niveau du dessus de l’oreiller. En temps normal, nul ne pouvait remarquer leur présence. Mais, une fois relevées, elles laissaient apparaître quatre trous ronds de diamètres identiques et donc également répartis de part et d’autre du centre de la tête de lit. Au dessus de ces quatre trous, on pouvait faire coulisser une pièce en bois permettant ainsi d’agrandir le trous verticalement. La tête de lit masquait complètement une entaille rectangulaire pratiquée dans le mur de pierre, entaille*large d’environ un mètre et haute d’environ 30 cm, et située au même niveau que les quatre trous. Ainsi, les quatre trous des trappes communiquaient avec une autre pièce attenante aux appartements de Catherina.
Catherina releva les deux pièces coulissantes situées au dessus des deux trappes les plus proches du centre de la tête de lit. Puis elle ouvrit une porte située dans ses appartements, porte permettant d’accéder à cette fameuse pièce, ou plutôt cellule. Cette cellule était de taille modeste, sans fenêtres. On pouvait y voir la fameuse entaille dans le mur communiquant avec les appartements de Catherina. Le seul ¨mobilier¨ consistait en un étrange chevalet en bois horizontal dont la table affleurait juste le bas de l’entaille. De la lumière issue de l’appartement passait à travers les 2 trous maintenant ouverts de la tête de lit. Deux larges roues situées à l’autre extrémité du chevalet étaient reliées à deux chaînes liées entre elles par deux anneaux métalliques soudés ensembles, chaque anneau étant muni d’une charnière et d’une fermeture. Ces anneaux avec leurs chaînes étaient simplement posés sur la table du chevalet.
Soudain, Catherina entendit qu’on frappa à la porte de ses appartements. Probablement les gardiennes accompagnées d’une des complices de Moira.
¨ENTREZ!¨, cria Catherina suffisamment fort pour que sa voix porte depuis la cellule jusqu’à la porte d’entrée de ses appartements.
La porte d’entrée s’ouvrit laissant en effet entrer deux gardiennes encadrant une femme complètement affolée.
¨Par ici!¨, s’exclama Catherina
Les gardiennes pénétrèrent dans la cellule sombre en poussant la complice devant Catherina qui les attendait debout devant le chevalet. A la vue de ce nouvel instrument de torture, la femme voulut s’enfuir car il lui rappelait les divers supplices qu’elle avait subis la veille.
- Comment t’appelles-tu?¨ demanda Catherina
- Pa...Pamela¨, répondit-elle d’une voix tremblante
- Sais-tu pourquoi tu es ici?
- C’est...c’est à cause de Moira. Vous lui avez fait avouer que j´étais sa complice
- Ce n’est qu’une partie de l’explication en effet. C‘est en tout cas ce qui explique pourquoi tu as été inspectée par notre chère Bertha hier. Mais là, maintenant, sais-tu pourquoi on t’a emmenée ici dans mes appartements?
- Nnon… Ppp..pourquoi?, demanda Pamela inquiète de la réponse
- Parce que j’ai appris une information très...intéressante à ton sujet
- Et...quelle information*?, balbutia-t-elle
- Vois-tu, chère Pamela, j’ai un faible pour les pieds féminins, c’est rien de le dire, surtout lorsqu’ils sont très … chatouilleux. Et je crois que tu es particulièrement chatouilleuse sous les pieds n’est-ce pas*?
- Non*! Non*! Pitié*! Pas encore ce supplice*! Pas les pieds, je vous en supplie…
- Installez-la sur le chevalet*!, ordonna Catherine aux gardiennes
Les gardiennes forcèrent Pamela à s’asseoir sur le chevalet, non sans mal car celle-ci se débattait comme une folle cherchant à s’enfuir par tous les moyens. Mais à deux elle finirent par réussir à l’asseoir, puis à empoigner l’une l’un de ses poignets et l’autre l’une de ses chevilles, pendant que le bras et la jambe libre de Pamela frappaient dans les airs heurtant parfois les gardiennes avec violence. Une des deux gardiennes finit par attacher le poignet de Pamela dans un des anneaux de métal, puis à rattraper au vol l’autre poignet qu’elle attacha également à l’anneau jumeau solidaire du premier. L’autre gardienne eût beaucoup plus de mal avec la cheville de Pamela qu’elle tenait pourtant des deux mains essayant en vain de la faire passer par l’entaille du mur puis dans le trou allongé qui se trouvait de l’autre côté du mur. L’autre gardienne lui dit*:
¨Je vais dans l’autre pièce où je lui attraperai la cheville que je bloquerai ensuite en abaissant les trappes¨
Aussitôt, elle sortit dans l’autre pièce, pendant que l’autre gardienne qui tenait fermement la cheville de Pamela était secouée dans tous les sens par la jambe de Pamela qui se débattait comme un diable en vociférant*:
¨Mais laissez moi tranquiiile*! Laissez moi partir*! Je ne veux pas subir de suppliiice*! Lachez-moi*! Lachez-moi!¨
La gardienne finit par réussir tant bien que mal à faire passer la cheville par l’entaille du mur*; la cheville déboucha de l’autre côté du mur à travers le trou et fût saisie au vol par l’autre gardienne qui essaya de la maintenir fortement entre ses deux mains puis de la tirer comme une folle vers elle résistant à la grande force musculaire de Pamela qui tentait désespérément de ramener sa jambe dans la cellule en hurlant. Dans un réflexe, la gardienne parvint à abaisser la grosse pièce en bois située au dessus du trou de la trappe emprisonnant ainsi définitivement la cheville de Pamela. Pamela, dans un geste de désespoir tira sur sa jambe tentant de sortir sa cheville de ce trou, mais son geste fût complètement inutile car la grosse pièce de bois bloquait le passage. Elle se retrouvait donc avec une cheville bloquée et ses bras attachés ensembles par les poignets. La gardienne située dans la cellule décida de tourner les grands volants du chevalet de manière à tendre progressivement les bras emprisonnés de Pamela vers l’arrière afin de faciliter l’emprisonnement de*l’autre cheville. Elles se mirent à deux pour attraper la jambe folle de Pamela, la faire passer par l’entaille du mur, et par le trou en bois. Puis, secouées par les mouvements brusques de la jambe de Pamela, elles s’adressèrent à Catherina *:
¨Madame. Pendant que nous la tenons fermement ainsi par sont mollet, puis-je vous demander de bien vouloir aller dans votre appartement pour abaisser la trappe du trou et ainsi emprisonner sa cheville?¨
- Mais bien sûr. Pourquoi n’y ai-je pas songé moi-même plus tôt*? C’est vrai qu’on a affaire à une petite furie pleine de force et d’énergie¨
Et aussitôt, elle sortit de la petite pièce, se jeta sur son lit à baldaquin tombant nez-à-nez avec les deux pieds encore chaussés de Pamela qui sortaient de la tête de lit, et abaissa la pièce de bois qui emprisonna la cheville restante.
¨Ouf*! C’est pas trop tôt*! J’ai cru qu’on n’y arriverait jamais¨, souffla-t-elle
Les gardiennes soufflèrent également face aux efforts qu’elles durent déployer pour attacher Pamela sur le chevalet.
¨Je vous remercie pour votre aide¨, leur dit Catherina qui était revenue dans la petite pièce.
¨Vous pouvez me laisser seule à seule avec elle¨.
Les deux gardiennes prirent donc congé de Catherina la laissant ainsi seule avec Pamela. Catherina était toute excitée à l’idée de pouvoir faire à cette nouvelle prisonnière tout ce que bon lui semblait.
La Reine et Catherina, toujours captivées par la scène du marché depuis la piece située dans le donjon, furent dérangées par quelqu’un cognant à leur porte.
¨Madame La Reine? Puis-je entrer*?¨, c’était Bertha.
¨Oui faites. Quelles sont les nouvelles des deux complices de Moira*?¨, demanda La Reine
¨Et bien elles ont toutes les deux subi une inspection en bonne et due forme. Et je peux vous dire qu’elles sont toutes les deux très sensibles*: l’une particulièrement sous la plante des pieds, et l’autre sur la zone des hanches et des flancs. Bizarrement celle qui est chatouilleuse des pieds craint plus les chatouilles avec une plume qu’avec les ongles même longs. Et l’autre nous a fait d’incroyables ruades lorsque nous lui avons fouillé les hanches*! J’ai cru qu’avec sa force elle allait casser le chevalet*!¨, expliqua Bertha.
¨Nous avons cru entendre quelques rires en effet¨, dit La Reine.
¨Madame La Reine, puis-je m’occuper de la fille chatouilleuse des pieds dans ma salle de torture personnelle ?¨, demanda Catherina toute excitée.
¨Entendu*! Bertha, faites emmener cette fille dans les appartements de Catherina¨, commanda La Reine.
¨Bien Majesté¨, répondit Bertha, qui aussitôt prit congé des deux femmes.
¨Madame La Reine, je suis désolée, mais je ne peux plus attendre. Je souhaite ardemment partir sur le champs dans mes appartements car j’ai une irrésistible envie de … m’occuper des pieds de cette complice¨, demanda Catherina.
¨Bien, allez-y, prenez du bon temps, je vois que vous êtes sur-excitée*; probablement par les rires de cette Moira, n’est-ce pas?¨, interrogea La Reine
¨En effet, ces rires et ce supplice des chatouilles public me rendent folle d’excitation*! Je suis toute … trempée si vous voyez ce que je veux dire. Je n’en peux plus!¨, expliqua Catherina.
¨Je ne vous retiens pas plus longtemps¨, autorisa La Reine
¨Merci*! Merci*Madame La Reine¨, remercia Catherina qui déjà était à la porte de la pièce prête à sortir.
Catherina marcha à travers les couloirs sombres du donjons, descendit un étage et ouvrit la porte de son immense appartement, médiéval bien entendu. Cette pièce disposait de plusieurs fenêtres certaines donnant sur la place du marché, d’autres dans une direction perpendiculaire. Il y avait également une petite alcôve pour ses ablutions ainsi qu’une autre pour se restaurer seule si elle le souhaitait. De nombreux meubles richement décorés de style médiéval occupaient son lieu de vie *: un lit à baldaquins, coffres, armoires, commodes, chaises hautes, une grande et une petite table, une chaise plus imposante en forme de trône*; les murs en pierre grise brute étaient également décorés d’armoiries*; une grande cheminée ajoutait de la chaleur à la pièce*; de nombreux tapis couvraient presque intégralement le sol également en pierre. La tête du lit à baldaquins était en bois finement ciselé.
Cette tête de lit disposait d’un petit ¨secret¨*: il s’agissait de quatre petites trappes parfaitement invisibles situées de part et d’autre du centre juste au niveau du dessus de l’oreiller. En temps normal, nul ne pouvait remarquer leur présence. Mais, une fois relevées, elles laissaient apparaître quatre trous ronds de diamètres identiques et donc également répartis de part et d’autre du centre de la tête de lit. Au dessus de ces quatre trous, on pouvait faire coulisser une pièce en bois permettant ainsi d’agrandir le trous verticalement. La tête de lit masquait complètement une entaille rectangulaire pratiquée dans le mur de pierre, entaille*large d’environ un mètre et haute d’environ 30 cm, et située au même niveau que les quatre trous. Ainsi, les quatre trous des trappes communiquaient avec une autre pièce attenante aux appartements de Catherina.
Catherina releva les deux pièces coulissantes situées au dessus des deux trappes les plus proches du centre de la tête de lit. Puis elle ouvrit une porte située dans ses appartements, porte permettant d’accéder à cette fameuse pièce, ou plutôt cellule. Cette cellule était de taille modeste, sans fenêtres. On pouvait y voir la fameuse entaille dans le mur communiquant avec les appartements de Catherina. Le seul ¨mobilier¨ consistait en un étrange chevalet en bois horizontal dont la table affleurait juste le bas de l’entaille. De la lumière issue de l’appartement passait à travers les 2 trous maintenant ouverts de la tête de lit. Deux larges roues situées à l’autre extrémité du chevalet étaient reliées à deux chaînes liées entre elles par deux anneaux métalliques soudés ensembles, chaque anneau étant muni d’une charnière et d’une fermeture. Ces anneaux avec leurs chaînes étaient simplement posés sur la table du chevalet.
Soudain, Catherina entendit qu’on frappa à la porte de ses appartements. Probablement les gardiennes accompagnées d’une des complices de Moira.
¨ENTREZ!¨, cria Catherina suffisamment fort pour que sa voix porte depuis la cellule jusqu’à la porte d’entrée de ses appartements.
La porte d’entrée s’ouvrit laissant en effet entrer deux gardiennes encadrant une femme complètement affolée.
¨Par ici!¨, s’exclama Catherina
Les gardiennes pénétrèrent dans la cellule sombre en poussant la complice devant Catherina qui les attendait debout devant le chevalet. A la vue de ce nouvel instrument de torture, la femme voulut s’enfuir car il lui rappelait les divers supplices qu’elle avait subis la veille.
- Comment t’appelles-tu?¨ demanda Catherina
- Pa...Pamela¨, répondit-elle d’une voix tremblante
- Sais-tu pourquoi tu es ici?
- C’est...c’est à cause de Moira. Vous lui avez fait avouer que j´étais sa complice
- Ce n’est qu’une partie de l’explication en effet. C‘est en tout cas ce qui explique pourquoi tu as été inspectée par notre chère Bertha hier. Mais là, maintenant, sais-tu pourquoi on t’a emmenée ici dans mes appartements?
- Nnon… Ppp..pourquoi?, demanda Pamela inquiète de la réponse
- Parce que j’ai appris une information très...intéressante à ton sujet
- Et...quelle information*?, balbutia-t-elle
- Vois-tu, chère Pamela, j’ai un faible pour les pieds féminins, c’est rien de le dire, surtout lorsqu’ils sont très … chatouilleux. Et je crois que tu es particulièrement chatouilleuse sous les pieds n’est-ce pas*?
- Non*! Non*! Pitié*! Pas encore ce supplice*! Pas les pieds, je vous en supplie…
- Installez-la sur le chevalet*!, ordonna Catherine aux gardiennes
Les gardiennes forcèrent Pamela à s’asseoir sur le chevalet, non sans mal car celle-ci se débattait comme une folle cherchant à s’enfuir par tous les moyens. Mais à deux elle finirent par réussir à l’asseoir, puis à empoigner l’une l’un de ses poignets et l’autre l’une de ses chevilles, pendant que le bras et la jambe libre de Pamela frappaient dans les airs heurtant parfois les gardiennes avec violence. Une des deux gardiennes finit par attacher le poignet de Pamela dans un des anneaux de métal, puis à rattraper au vol l’autre poignet qu’elle attacha également à l’anneau jumeau solidaire du premier. L’autre gardienne eût beaucoup plus de mal avec la cheville de Pamela qu’elle tenait pourtant des deux mains essayant en vain de la faire passer par l’entaille du mur puis dans le trou allongé qui se trouvait de l’autre côté du mur. L’autre gardienne lui dit*:
¨Je vais dans l’autre pièce où je lui attraperai la cheville que je bloquerai ensuite en abaissant les trappes¨
Aussitôt, elle sortit dans l’autre pièce, pendant que l’autre gardienne qui tenait fermement la cheville de Pamela était secouée dans tous les sens par la jambe de Pamela qui se débattait comme un diable en vociférant*:
¨Mais laissez moi tranquiiile*! Laissez moi partir*! Je ne veux pas subir de suppliiice*! Lachez-moi*! Lachez-moi!¨
La gardienne finit par réussir tant bien que mal à faire passer la cheville par l’entaille du mur*; la cheville déboucha de l’autre côté du mur à travers le trou et fût saisie au vol par l’autre gardienne qui essaya de la maintenir fortement entre ses deux mains puis de la tirer comme une folle vers elle résistant à la grande force musculaire de Pamela qui tentait désespérément de ramener sa jambe dans la cellule en hurlant. Dans un réflexe, la gardienne parvint à abaisser la grosse pièce en bois située au dessus du trou de la trappe emprisonnant ainsi définitivement la cheville de Pamela. Pamela, dans un geste de désespoir tira sur sa jambe tentant de sortir sa cheville de ce trou, mais son geste fût complètement inutile car la grosse pièce de bois bloquait le passage. Elle se retrouvait donc avec une cheville bloquée et ses bras attachés ensembles par les poignets. La gardienne située dans la cellule décida de tourner les grands volants du chevalet de manière à tendre progressivement les bras emprisonnés de Pamela vers l’arrière afin de faciliter l’emprisonnement de*l’autre cheville. Elles se mirent à deux pour attraper la jambe folle de Pamela, la faire passer par l’entaille du mur, et par le trou en bois. Puis, secouées par les mouvements brusques de la jambe de Pamela, elles s’adressèrent à Catherina *:
¨Madame. Pendant que nous la tenons fermement ainsi par sont mollet, puis-je vous demander de bien vouloir aller dans votre appartement pour abaisser la trappe du trou et ainsi emprisonner sa cheville?¨
- Mais bien sûr. Pourquoi n’y ai-je pas songé moi-même plus tôt*? C’est vrai qu’on a affaire à une petite furie pleine de force et d’énergie¨
Et aussitôt, elle sortit de la petite pièce, se jeta sur son lit à baldaquin tombant nez-à-nez avec les deux pieds encore chaussés de Pamela qui sortaient de la tête de lit, et abaissa la pièce de bois qui emprisonna la cheville restante.
¨Ouf*! C’est pas trop tôt*! J’ai cru qu’on n’y arriverait jamais¨, souffla-t-elle
Les gardiennes soufflèrent également face aux efforts qu’elles durent déployer pour attacher Pamela sur le chevalet.
¨Je vous remercie pour votre aide¨, leur dit Catherina qui était revenue dans la petite pièce.
¨Vous pouvez me laisser seule à seule avec elle¨.
Les deux gardiennes prirent donc congé de Catherina la laissant ainsi seule avec Pamela. Catherina était toute excitée à l’idée de pouvoir faire à cette nouvelle prisonnière tout ce que bon lui semblait.