Ce soir, TF1 diffusait « Ushuaia nature ». Nicolas Hulot, le journaliste-explorateur, y est allé à la rencontre des Indiens Zo'és au cœur de la forêt amazonienne. Cette extraordinaire tribu, répartie sur une dizaine de villages situés dans des endroits inaccessibles, est aujourd'hui préservée des effets néfastes de notre civilisation. En effet, il y a une dizaine d'années, le gouvernement brésilien a viré les "gentils" missionnaires et encouragé les Zo'és à revenir à leur mode de vie traditionnel. Avec succès.
Cette tribu ne possède ni chef ni chaman. Pas de hiérarchie. Pas de besoin de posséder. Le partage y est naturel et le mot merci n'existe pas dans leur langue. "On ne demande pas : on obtient", dit le journaliste. Les Zo'és ne passent que deux heures par jour à "travailler" (chasse, pêche, vannage...). Ils passent le reste de leur temps se laisser vivre, à ne rien faire, mais toujours sans ennui. Ils ne confondent pas le bonheur avec le plaisir, savent profiter simplement du moment présent, en harmonie avec la nature qui les entourent (enfin, les chevilles des enfants sont quand même attachées par une lianne afin qu'ils ne s'éloignent pas dans la forêt sans adulte, à cause des jaguars et des serpents).
Mais ce qui est absolument extraordinaire, c'est leur façon de régler les quelques conflits. Voici ce qu'écrit un journaliste sur le site du Figaro à propos de l'émission de ce soir :
« Savez-vous comment les Indiens Zo'és règlent leurs conflits ? Par le rire ! Si deux hommes se jalousent ou se disputent par exemple, ils sont amenés au centre du village, allongés côte à côte sur le sol, puis… chatouillés jusqu'à ce que le rire et la bonne humeur communicative effacent tout ! »...
Lien vers l'article complet : Nicolas Hulot chez les derniers hommes libres
Absolument incroyable ! Je ne trouve rien d'autre à écrire pour commenter cette découverte. Sommes-nous, nous les fétichistes de chatouilles, les ultimes détenteurs d'une culture ancestrale, primitive, existant depuis des milliers d'années ? Question.
Cette tribu ne possède ni chef ni chaman. Pas de hiérarchie. Pas de besoin de posséder. Le partage y est naturel et le mot merci n'existe pas dans leur langue. "On ne demande pas : on obtient", dit le journaliste. Les Zo'és ne passent que deux heures par jour à "travailler" (chasse, pêche, vannage...). Ils passent le reste de leur temps se laisser vivre, à ne rien faire, mais toujours sans ennui. Ils ne confondent pas le bonheur avec le plaisir, savent profiter simplement du moment présent, en harmonie avec la nature qui les entourent (enfin, les chevilles des enfants sont quand même attachées par une lianne afin qu'ils ne s'éloignent pas dans la forêt sans adulte, à cause des jaguars et des serpents).
Mais ce qui est absolument extraordinaire, c'est leur façon de régler les quelques conflits. Voici ce qu'écrit un journaliste sur le site du Figaro à propos de l'émission de ce soir :
« Savez-vous comment les Indiens Zo'és règlent leurs conflits ? Par le rire ! Si deux hommes se jalousent ou se disputent par exemple, ils sont amenés au centre du village, allongés côte à côte sur le sol, puis… chatouillés jusqu'à ce que le rire et la bonne humeur communicative effacent tout ! »...
Lien vers l'article complet : Nicolas Hulot chez les derniers hommes libres
Absolument incroyable ! Je ne trouve rien d'autre à écrire pour commenter cette découverte. Sommes-nous, nous les fétichistes de chatouilles, les ultimes détenteurs d'une culture ancestrale, primitive, existant depuis des milliers d'années ? Question.
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